Du Dicker 100% à la virgule près.

Si comme moi vous avez déjà lu un Dicker et surtout l’affaire Harry Québert, l’Affaire Alaska Sanders équivaut à mettre ses pantoufles. On y retrouve beaucoup de personnes : Marcus Goldman, Perry Gahalowood, et Harry Québert lui-même. Mais de nouveaux sont peut être là pour rester.
Ce livre est décrit par Joel Dicker comme la suite de l’affaire Harry Québert alors que le livre des Baltimore est sorti entre temps. Un peu comme les star wars. Mais rassurez-vous vous pouvez les lire dans l’ordre que vous voulez, cela ne change rien.
Je vous écris la mise en situation : avril 1999, d’Alaska Sanders, arrivée depuis peu dans la ville de Mount Pleasant, est retrouvée morte au bord d’un lac. Les enquêteurs chargés de l’enquête dont Perry Gahalowood élucide rapidement l’affaire. Le coupable passe aux aveux et va terminer ses jours en prison.
Rebondissement 11 ans plus tard. Début 2010, Perry, persuadé d’avoir élucidé le crime à l’époque, reçoit une lettre anonyme qui le trouble. Et s’il avait suivi une fausse piste?
Dans le même temps Marcus, lui, faisant des va-et-vient entre New York et Montréal où se tourne l’adaptation de G comme Goldstein, le livre phénomène éditorial. Il a depuis trois mois une liaison avec Raegan, une superbe pilote d’Air Canada. Est-ce avec elle qu’il trouvera le grand amour ? Pas de panique je m’arrête là, je ne serais point une divulgatrice.
Son éditeur fait tout pour qu’il accepte le pont d’or proposer par Hollywood d’adapter la vérité sur l’affaire Harry Québert. Venu assister aux obsèques de la femme de Gahalowood, Marcus reste plusieurs jours pour l’épauler. Perry parle se confie sur la lettre à Marcus et voilà ce dernier organisant alors une séance de dédicace dans la librairie locale afin de rencontrer la population et d’écouter leurs confidences …
Apparté en parlant d’éditeur, ce livre est le premier à paraître avec sa maison d’édition ROSIE and WOLFE qu’il a créée suite au décès de son éditeur Bernard de Fallois.

“C’est parce que je suis convaincu du pouvoir de la littérature que j’ai eu envie de créer ma propre maison d’édition, autour des lecteurs, autour de la lecture, autour de l’écriture. Une maison dont la devise est simple : faire lire et écrire.”
Joël Dicker
À partir de là, notre duo nous convainc, d’une piste, de plus en plus crédible, pendant plusieurs pages qui sera démontée en un paragraphe et nous voilà à la case départ. Au menu adultère, accident, vol de bijoux, et non pas un mais deux meurtres ! On avale les pages qui alternent entre les années 1999 et aujourd’hui un peu à la cold case. Est-ce que ce cold case sera élucidé ? Vous me voyez venir : lisez le livre ou écoutez ce qu’il en avait à dire lors de la paturion.
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